Cette infraction punissable d’un an de prison et de 10.000 euros d’amende était portée par le rapporteur, un député médecin. Les professionnels des associations de prévention et de lutte contre les troubles alimentaires étaient opposés à cette disposition… La ministre de la santé a affiché le souci de ne pas "repousser vers la clandestinité des jeunes ou moins jeunes" touchés par l’anorexie.
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