Espace documentaire

« Joueurs » : une descente dans l'enfer du jeu

Auteurs : M. Monge - Date de parution : 05/07/2018 - Film : Addictions aux jeux de hasard et d'argent La réalisatrice de « Joueurs », Marie Monge a répondu aux questions de RFI.Dans le film, elle fait une sorte de « portrait mélangé »de joueurs qu'elle a pu rencontrer. « Je suis touchée par les joueurs leur rapport très intense à la vie : mettre des enjeux sur une table, jouer sa vie sur un coup de hasard. Ce sont des gens qui ont énormément de ressources, ils développent une gouaille, une intelligence, une curiosité, une manière d'être un caméléon, de se fondre dans plusieurs classes sociales.... ».

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L'éduc'écran. Pour accompagner nos enfants à grandir avec les écrans !

Auteurs : Fédération nationale des Ecoles des parents et des éducateurs (Fnepe) - Date de parution : 05/06/2018 - Jeu : Nouvelles technologies Ce jeu vise à permettre de réfléchir entre parents à la place des écrans dans la famille quand on a de jeunes enfants (0-6 ans). « Il propose des pistes de réflexion sous forme de questions qui permettent d'aborder les problématiques d'utilisation des écrans».

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Gamers, la rage de jouer : mission désintoxication

Auteurs : E. Vecchi - Date de parution : 24/07/2018 - Vidéo : Addiction aux jeux vidéo Olivier, québécois témoigne de sa dépendance aux jeux vidéo et explique combien le sevrage est difficile.

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Sommes-nous addicts aux addictions ?

Auteurs : M. Reynaud, P. Pharo, R. Gori - Date de parution : 26/06/2018 - Emission de radio : Addictions - Généralités ient de définir ce qu'est une addiction, avec la difficulté de décrire la maladie. Est-ce que ce terme n'est pas utilisé avec excès ? Est-ce que la société capitalise n'encourage pas l'addiction ? Chacun essaie dans sa spécialité d'apporter des éléments de réponses à des questions très complexes,

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Nouveaux médias : entre opportunités et régulations

Auteurs : V. Garguil, E. Martin, F. Musiani, B. Rocher - Date de parution : 28/06/2018 - Vidéo : Nouvelles technologies Vidéo d'une table ronde qui s'est déroulée lors des journées de la Fédération Addiction : « Homme augmenté : des paradis artificiels à l'intelligence artificielle : quels changements de paradigme ? ». La psychologue et le psychiatre s'étonnent du retard à la consultation des joueurs de jeux vidéo, et du manque de disponibilité des dispositifs. Pour eux, il faut réfléchir à des postures qui permettent de développer des protections internes et à réfléchir à des régulations externes des objets « écrans » et des produits « jeux ». La psychologue constate que les écrans peuvent engendrer des désarrois familiaux qui se cristallisent sur les objets et les pratiques et qui peuvent amener à des échanges, des dialogues. Pour Emmanuel Martin, l'éditeur de jeux, il est important que l'industrie et les professionnels du soin et de l'éducation dialoguent et imaginent une pédagogie autour de l'utilisation de ces medias.

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Prévalence du jeu chez les jeunes et influence potentielle de la consommation de substances et autres facteurs de risque dans 33 pays européens : premiers résultats de l'étude ESPAD 2015

Auteurs : S. Molinaro, E. Benedetti, M. Scalese, L. Bastiani, L. Fortunato, S. Cerrai et al - Date de parution : 29/05/2018 - Article (anglais) : Addictions aux jeux de hasard et d'argent Cette étude réalisée dans le cadre de l'enquête European School Project on Alcohol and other Drugs (ESPAD) visait à estimer la prévalence du jeu des mineurs en Europe par type de jeu en ligne et hors ligne et à examiner l'association avec les caractéristiques individuelles et familiales d'une consommation de substances. Elle a porté sur 93 875 jeunes de 16 ans dans 33 pays européens. Les résultats indiquent qu'en moyenne, 22,6 % des adolescents ont joué au cours de la dernière année. Cela est particulièrement intéressant si l'on considère que les mesures législatives interdisent généralement les jeux de hasard chez les mineurs. Ils montrent qu' il n'existe pas de répartition spatiale bien définie de la prévalence du jeu chez les jeunes. Celle du jeu hors ligne est légèrement supérieure à celle du jeu en ligne (18,5% contre 16,2%), en particulier chez les femmes (11,4% contre 8,3%). Ce sont les loteries qui seraient l'activité de jeu hors ligne la plus populaire. Les paris sur les sports ou les courses d'animaux représentaient à la fois le jeu le plus joué par les joueurs en ligne et le deuxième jeu le plus populaire hors ligne. Un pays se distingue par un taux de prévalence élevée pour les jeux de loterie, c'est la Grèce. Cela s'explique à la fois par un accès à des installations de paris terrestres (qui se fera surtout le samedi soir) plutôt qu'en ligne et par l'absence d'un cadre restrictif. Que peut-on en conclure ? Les relations et les règles familiales influencent la prévalence du jeu chez les jeunes. Les jeunes bénéficiant de soutien familial et/ou avec des parents plus encadrants et/ou s'adonnant à d'autres activités (lecture, musique...) sont moins à risque de jouer. Ceux qui pratiquent des sports de compétition, qui consomment de l'alcool ou des substances (autre que le cannabis) sont plus à risque.Les résultats relativement homogènes par pays ou groupes de pays méritent une étude plus approfondie dans les travaux futurs.

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Prévalence des préoccupations corporelles non liées au poids et des dysmorphies corporelles dans l'anorexie mentale.

Auteurs : S. Cerea , G. Bottesi , J.R. Grisham , M. Ghisi - Date de parution : 27/05/2018 - Article (anglais) : Addictions alimentaires Habituellement, dans les articles concernant les préoccupations corporelles associées à l'anorexie mentale (AM) il est surtout question de préoccupations associées au poids ou à la silhouette. A contre-courant, cet article évalue la présence et l'importance de préoccupations corporelles autres dans l'AM. 61 patientes (AM) et 61 femmes contrôles (appariées sur l'âge et le niveau d'étude) ont été évaluées par une batterie de questionnaires (dysmorphies corporelles, troubles alimentaires, TOC, symptômes anxio-dépressifs, anxiété sociale, estime de soi). Environ 26% des patientes avaient des obsessions de dysmorphie corporelle c'est-à-dire qu'elles avaient des préoccupations concernant au moins un « défaut » dans leur apparence physique qui n'était pas relié à leur poids ou à leur silhouette avec une incidence importante sur leur vie sociale, scolaire/professionnelle ou dans d'autres domaines importants pour elles. Ces préoccupations concernaient plus fréquemment leurs cheveux, le nez, la peau, les dents, leur taille. Certaines préoccupations peuvent en partie être expliquées par les conséquences de l'AM (dents, cheveux, peau) mais les auteurs retrouvent également des préoccupations concernant des organes qui ne sont pas affectés par la maladie. En fonction des réponses au questionnaire de dysmorphie, deux sous groupes de patientes ont été constituées: celles qui avaient uniquement des préoccupations corporelles liées au poids et à la silhouette (N=22) et celles qui avaient également des préoccupations corporelles autres (N=39). Bien que la sévérité des troubles alimentaires et les symptômes anxio-dépressifs soient comparables entre les 2 groupes de patientes, les patientes du groupe avec des préoccupations corporelles non associées au poids ou à la silhouette présentaient une psychopathologie plus sévère (estime de soi plus basse, TOC plus fréquents, anxiété sociale plus importante).

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Est-ce que les jeux vidéo sont une porte d'entrée pour le jeu de hasard et d'argent ? Etude longitudinale basée sur un échantillon de norvégiens représentatif.

Auteurs : H. Molde, B. Holmøy, A.G. Merkesdal,T. Torsheim, R.A. Mentzoni, D. Hanns et al. - Date de parution : 06/06/2018 - Article (anglais) : Addiction aux jeux vidéo Cette étude longitudinale réalisée avec 4 601 participants (47,2% d'hommes et 52.8% de femmes,âgés de 16 à 74 ans) tirés d'un échantillon aléatoire de la population générale a été conduite sur une période de 2 ans (2013, 2015). Les joueurs ont été évalués avec la Gaming Addiction Scale for Adolescents (GASA) et le Canadian Problem Gambling Index (CPGI). La possibilité d'une relation directionnelle entre les mesures du jeu vidéo et de jeu de hasard et d'argent problématiques a été évaluée, tout en tenant compte de l'influence du sexe et de l'âge.Les résultats indiquent qu'il y a une relation positive significative entre les scores pour les jeux vidéo et ceux mesurés plus tard pour les jeux de hasard et d'argent en ligne alors qu'on n'a pas noté l'inverse. Un sous-ensemble de joueurs de jeux vidéo a développé un engagement important dans les jeux de hasard et d'argent à 2 ans. Les joueurs problématiques de jeu vidéo sont généralement prédisposés à des comportements addictifs dans le jeu de hasard et d'argent ; ceci étant modéré par l'âge. Une possible explication de la relation entre le jeu vidéo problématique et le jeu de hasard et d'argent est que les participants ont 2 ans de plus. Cela peut indiquer qu'un sous-ensemble de ceux impliqués dans le jeu de hasard et d'argent ont développé dans cet intervalle un problème de jeu.La relation entre le jeu vidéo problématique et le risque plus élevé de développer un problème de jeu de hasard et d'argent est une question qui devra faire l'objet de recherches futures.

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Agenda

Ecrans et cyberaddictions

Ecrans et cyberaddictions

 Formation régionale proposée par l'ARS PACA à destination des professionnels des CSAPA. Elle se déroulera sous la forme de 4 sessions pour les départements des Hautes-Alpes (05, des Alpes-de-haute-Provence, du Var, du Vaucluse et des Alpes-Maritimes entre les jeudi 27 et vendredi 28 septembre 2018 et les lundi 19 et mardi 20 novembre 2018. Elles seront animées soit par Pierre Taquet, psychologue ou Céline Bonnaire, psychologue.

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Les écrans, pas tout le temps !

Les écrans, pas tout le temps !

 Cette conférence ouverte à tous et animée par un professionnel de la prévention et un expert aura lieu dans plusieurs villes de Bourgogne-Franche-Comté (Auxerre, Nevers, Chalon-sur-Saône, Besançon, Châtillon-sur-Seine, Lons-le-Saunier) du 20 novembre au 6 décembre 2018.

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